Gilles Paris
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parution le jeudi 5 novembre 2009

François-Marie Banier

Grandes Chaleurs
Beau livre

Steidl
144 pages / Prix de vente : 45 €

Le livre

Grandes chaleurs est un titre coquin, comme le regard des marocains. Il dit qu'il fait chaud dehors. C'est vrai. Il fait encore plus chaud, terriblement plus chaud au contact de leur intelligence. Intelligence religieuse de l'être, de l'autre, dans un pays de traditions où la prière et l'humour signifient quelque chose de brûlant qui crée un lien si fort que c'est presque un acte. Je les aime.
Omniprésence de l'Au-delà, du Bien, du Mal. Pays de seigneurs. Ils vous serrent la main et la portent tout de suite après à leur coeur affirmant que c'est de là que se crée le contact, nous rappelant d'où vient leur chaleur que l'on soit aveugle, affamé, ou temporairement puissant.
Quelque soit leur âge, leur douleur, leur grandeur intime l'ordre au photographe de fixer ces regards, ces gestes, ces attitudes de la permanence de leur recherche spirituelle qui les relie, et nous aussi, chaînons du drame de la misère humaine, à l'infini de la création et de l'esprit
François-Marie Banier

L'auteur

Romancier et dramaturge, François-marie Banier est né en 1947 à Paris, où il vit et travaille. Ses romans, traduits en plusieurs langues, sont publiés aux Editions Gallimard : Les résidences secondaires, Le passé composé, La tête la première, Balthazar, fils de famille, Sur un air de fête, Je ne t'ai jamais aimé, Les femmes du métro Pompe, Johnny Dasolo. Parallèlement, depuis les années 1970, il photographie aussi bien les personnages marquants de son époque que les anonymes de la rue. Depuis les années 1990, son oeuvre photographique est exposée dans le monde entier.
A propos de Grandes Chaleurs de François-Marie Banier Editions Steidl
Parution le 05/11
Texte de Abdellah Taïa
Au Maroc, de l'autre côté
Par Abdellah TAÏA
Né en 1973 à Rabat (Maroc), Abdellah Taïa vit à Paris depuis 9 ans. Il a publié quatre livres d'inspiration autobiographique : Mon Maroc (Ed. Séguier, 2000), Le rouge du Tarbouche, Ed. Séguier, 2005), L'Armée du salut (Ed. du Seuil, 2006) et Une mélancolie Arabe (Ed. du Seuil, 2008). Il a également co-écrit, avec Frédéric Mitterrand, Maroc (1900-1960), Un certain regard (Ed. Actes-Sud/Malika Editions, 2007).
« Je me suis retrouvé immédiatement dans les images que propose François-Marie Banier dans ce livre. Dès le premier coup d'oeil, la première image. Ces gens en évasion, c'est moi. Ce Maroc d'à côté, invisible pour certains, c'est aussi moi. Et pourtant, je ne peux pas prétendre avoir le même regard que Banier sur les choses, les êtres. Sur le Maroc. Pour quelle raison alors j'aime ces photographies? Qu'est-ce qui me touche et provoque cette identification instantanée? Et que fait Banier au milieu de ce monde a priori étranger pour lui?
Sur le chemin pour rencontrer François-Marie Banier pour la première fois, deux images de lui me revenaient à l'esprit et s'imposaient fortement à moi. Deux révélations. La première est celle de Samuel Beckett en short sur la plage de Tanger avec, non loin de lui, un petit garçon qui joue au ballon. Deux êtres qui marchent dans la même direction dans une ville où les frontières sont depuis longtemps brouillées. Un immense écrivain dans ses pensées. Un petit Tangérois dans son jeu à lui. Deux solitudes sous le soleil et la promesse d'une rencontre qui finira un jour par avoir lieu, dans la vie, dans les livres. La deuxième image montre Isabelle Adjani qui déroule l'agrandissement d'un portrait de son père. Il était algérien kabyle et s'appelait Mohamed Charif. Et quand on le découvre, jeune, sublime, romanesque, on comprend d'où vient l'exceptionnelle beauté de la star Isabelle Adjani. Il est mort dans les années 80. Adjani le montre enfin et Banier saisit cet instant bouleversant. Une fille et son père ensemble. Fierté, réconciliation, retour aux origines.
Dans ces deux photographies on est à chaque fois de l'autre côté, des frontières, d'une idée fixe, d'une image cliché. De la réalité. L'Irlande. Paris. Tanger. La Kabylie. La mer. Le ciel.
Après avoir vu, captivé de bout en bout, les images “marocaines” de ce livre, j'ai dit à Banier: “Vous avez saisi les personnages et le monde de mon imaginaire... Je viens de ce Maroc...” Il m'a répondu: “Mais ces personnages ne sont pas imaginaires... Ils sont réels, bien réels.” Je ne disais pas le contraire. Et visiblement il y avait un petit malentendu, qui s'est vite transformé en discussion vive, passionnante pour moi. Qu'est-ce que le réel? Qu'est-ce que l'imaginaire? Et comment appliquer, relier ces deux concepts, simples et complexes, au Maroc?
Nous n'étions pas d'accord sur la définition même de ces deux mots. Et Le Petit Robert ne nous a pas été d'une grande utilité. Chacun avait sa propre conception de ces deux notions. Sa mémoire des mots et sa façon à lui d'intégrer le monde, la vie dans le réel et l'imaginaire. Chacun a essayé de convaincre l'autre. En vain. Mais ce n'était pas grave. Les mots, de toute façon, sont toujours source de problèmes et d'incessantes querelles. Les mots, au fond, ne peuvent pas être complètement partagés. Les mots, c'est de soi à soi, d'abord et avant tout.
François-Marie Banier avait raison de décrire ce Maroc comme réel. Il existe. Il ne l'a pas inventé. Il y a été. Il y a passé des jours et des mois à se promener, pour le voir vraiment, le regarder en face, tendrement, crûment et toujours avec poésie.
Le Maroc que révèle Banier ici est celui auquel on s'intéresse très peu. Il ne compte pas. Il n'existe pas, diront certains. Il n'a rien de pittoresque. Aucun exotisme. Pas de potentiel touristique. Et pourtant ces gens simples, saisis dans la banalité touchante, et parfois extraordinaire, de leur quotidien, c'est le Maroc tout entier. Les Marocains ressemblent à ça. Ils sont grands, petits, en djellaba, en jean sexy. Ils sont voilés, modernes, traditionnels. Ils tuent le temps. Ils prient. Ils jouent. Ils rient. Ils négocient. Ils sont ici et ailleurs. Ils ne cessent de bouger, de marcher, de tourner en rond, de se bousculer, de se rapprocher pour mieux s'étouffer les uns les autres. Les Marocains, oui, absolument, c'est ça, cette classe-là, cette chaleur, ce cirque, cet amour malgré tout. Ce silence et cette solitude aussi. Ce Maroc, je le reconnais, je le porte en moi pour toujours. C'est de là que je viens. C'est à partir de là que j'écris mes livres, mon histoire, mes fragments. Mon “je” éclaté.
On parle souvent en Occident de la dignité et de la noblesse des Marocains, ce peuple merveilleusement hospitalier. C'est sans doute sincère. Mais c'est aussi une façon de garder une distance avec eux. De les réduire à ça: des gens beaux, gentils, souriants. Et c'est tout. On ne voit pas autre chose. On le leur dénie le droit à la complexité et la profondeur psychologique. Il y a là, bien sûr, quelque chose d'injuste, de simpliste, de fantasmatique, de néocolonialiste. Fort heureusement, tout en révélant leur beauté inhabituelle, tout en se rapprochant de plus en plus de leur visage et de leurs yeux, Banier ici est loin de cette idée du Maroc éternel. Cela ne l'empêche pas d'être parfois “cruel”, de prendre les Marocains en photo dans toute leur réalité, aussi sordide et dégradante soit-elle. Au fond, il les traite comme il a traité ses personnages européens. Comme il photographie certaines stars. Et s'il y a une permanence à trouver dans ce livre, c'est par là, dans cette direction, qu'il faut la chercher.
Le Maroc est un Royaume de fous en liberté. Banier l'a bien vu. Et, qui sait, c'est peut-être cela qui l'a attiré dans ce pays: retrouver sa propre folie au milieu de celle très contagieuse des Marocains. C'est une folie douce, poétique. Mais, en même temps, réelle, visible. Et j'aime à retrouver ici les fous de mon pays. Les fous quotidiens, hagards, possédés, vénérés. Abandonnés de tous. Errant dans la douceur de leur monde à eux. Ils ne sont jamais méchants et leurs yeux en colère sont la bonté même. Ce sont des fous qui invitent à les suivre, de loin, de près. On dit au Maroc qu'ils ont la baraka et qu'ils portent chance. Ce qu'on ne dit pas, c'est qu'ils sont des victimes. De la vie. Des autres. De la société. Du gouvernement. De tout un pays qui ne sait pas encore quoi faire de ses individus et qui, pour l'instant, les maintient dans l'archaïsme religieux, politique. Sous l'emprise de traditions belles, fortes, d'accord, mais sclérosantes, d'un autre temps.
D'où vient alors la poésie de ce pays et que Banier s'approprie dans ce livre de manière originale et parfois surréaliste?
Une voix timide, dans ma tête, me dit de répondre par ce mot: les djinns. Au Maroc, ils sont réels, ils sont chez eux, possédant les corps, les esprits et incitant les Marocains à inventer des rituels étranges et à faire régulièrement des sacrifices. La spiritualité dans ce pays n'est pas reliée uniquement à la religion musulmane, elle vient aussi de certaines croyances où se mêlent le sacré et le païen, le « hallal » et le « haram », ce qui est autorisé et ce qui est interdit. L'homme et la femme en dehors des règles, dans une danse libre. Une nuit de transe. Et bien plus. La poésie particulière qui émane de la rencontre de ce peuple et de cette terre a également un goût érotique. Le Maroc est un théâtre permanent où l'élément sexuel est omniprésent. Banier, sans exagérer, a bien compris ce point et n'a pas cherché dans ses images à l'isoler. Il fait partie d'un tout qu'on pourrait volontiers qualifier de baroque intime. Et pour une fois, ces deux adjectifs vont bien ensemble.
Ce livre est une journée marocaine. Une déambulation parmi des corps en mouvement. Des êtres qui se débrouillent comme ils peuvent. Qui attendent. Qui travaillent. Qui portent sur eux le poids du monde. Qui sont en joie. En fête. En eux-mêmes.
Ce livre est un hommage. Il fait exister des gens en grand. En beauté. En plein mystère.
Ce livre est possédé, dépassé, envoûté.
Est-il optimiste?
Oui.
Est-il pessimiste?
Oui.
C'est comme ça que je vois ces images. C'est comme ça que je vois ces gens qui me ressemblent. Certains d'entre eux sont physiquement très marqués par la vie, par la violence des rapports humains. Par l'écrasement et la soumission imposés et culturellement généralisés.
Parmi les photos qui me frappent, il y a celle de cette jeune femme qui participe à un tour de magie dans une “halqa” sur la place de Jamaa El-Fna à Marrakech. Elle était enfermée. Le magicien vient de finir son tour. Il libère la jeune femme qui, dans un élan magnifique, lève les deux bras en l'air dessinant ainsi un signe de victoire. Autour d'elle, que des hommes visiblement insensibles à cette libération. Mais le mouvement de cette jeune héroïne est tellement fort, significatif, bouleversant...Elle en devient une figure, un symbole de la liberté même vers laquelle tendent les Marocains. Mais elle est aussi une image muette des contradictions qui traversent la société marocaine aujourd'hui. La jeune femme, qui me rappelle celle de la célèbre toile “La Liberté guidant le peuple” d'Eugène Delacroix, porte le voile islamique et son maître a laissé volontairement ses yeux bandés. Le chemin vers le changement des mentalités semble certains jours si long.
Cette jeune femme pourrait être ma soeur Slima. Juste avant d'obtenir sa maîtrise en droit elle voulait se voiler. Tout le monde à la maison était contre. Deux ans plus tard, sans prendre le temps de réaliser ses rêves, elle s'est mariée. Son mari l'a autorisée aussitôt à porter le voile. C'était au début des années 90. Aujourd'hui le voile islamiquement correct est devenu une mode dont le sens profond continue de m'échapper.
Heureux. Triste. Fou. Jeune. Vieux. Contradictoire. Souk. Hammam. Désert. Je porte en moi tous ces visages du Maroc qui bouge, qui attend et rêve. Ils constituent une grande partie de mon imaginaire. Ce sont des images vraies mais je ne sais pas quand ni comment elles sont entrées en moi avec force. Le temps a fait son oeuvre, comme on dit. Et dans ma tête, tout se mélange. Les impressions sont fortes, précises, mais pas les contours qui sont flous, vagues. Les corps de ce Maroc sont les uns sur les autres, en plein échange, en silence, ils se portent mutuellement avec tendresse, avec cruauté, ils s'aiment en se regardant en permanence droit dans les yeux.
Quand j'écris j'essaie toujours de faire appel à cette mémoire des corps pour raconter mes histoires, redéfinir mon passé, me revoir au milieu des autres, dans la foule, en pleine transgression. Il n'y a rien à renier. La fidélité à ce Maroc simple et traditionnel est devoir. Un attachement fort, grand. Et malgré les souffrances et ce terrible sentiment de solitude, d'abandon, ressenti pendant des années et des années au milieu des miens, il ne me vient jamais à l'esprit l'idée de tourner le dos à Salé et ses pirates, à mon quartier Hay Salam. A mon premier monde.
Je me revois dans les images de François-Marie Banier. Je me retrouve. Je continue l'histoire. Je veux toujours m'échapper pour mieux voir. Je rencontre mon père vieux, las, qui ne sait plus quoi faire du temps. Je croise ma tante, élégante et heureuse, qui vend de l'ail et des oignons. Je revois mes petits amis. Je suis dans la folie. Béni. Maudit. Je vais aux mausolées. Je prie. Je parle aux voyantes. Je jette des sorts. J'assiste en direct à la mort d'un cheval qui n'en finit pas de tomber. Un cheval mort d'épuisement. Pas aimé. Je vole des baisers à des petites filles et, quand j'ai peur, je donne ma main à ma mère. Et parfois à des inconnus.
J'avance, j'avance. On essaie parfois de m'arrêter. On me pose trop de questions. Je n'ai pas de réponses. Je n'ai que moi. Moi. C'est ma seule richesse. Alors je continue. Loin, à Paris. Pour moi. Pour les autres. Dans l'espoir. Dans le désespoir. Dans la foi.
Je suis comme les deux dernières figures des deux dernières photos de ce livre. Un homme d'un certain âge déjà, assis, fatigué et ahuri par ce qu'il voit, ce qui vient (une catastrophe?). Je suis aussi un coq fier et inconscient dans une cage, mais ma tête est à l'extérieur. Ailleurs. En liberté.
PS. François-Marie Banier a longtemps pensé à un autre titre pour ce livre, ces personnages: “Fragiles”. Aucun sentiment misérabiliste de sa part dans ce premier choix. Plutôt une attitude de reconnaissance, d'humilité devant ces hommes et ces femmes en qui il se retrouve, qu'il voit, selon sa propre expression, comme des rois et des reines. D'un jour. De toujours. Fragiles comme la vie. Comme un miracle. Fragiles et rares comme le cristal. Fragiles : une raison pour les aimer plus. Faire attention à eux plus » Abdellah Taïa
critiques
La Savoie
L'occasion nous est offerte ici, par les éditions Steidl d'aller à la rencontre de ce double artiste. "Grandes chaleurs", robe rouge, photos noir et blanc, grand format, propose un regard, son regard sur le Maroc.
Luc Monge
Mémoire des Arts
Les clichés en noir et blanc de François-Marie Banier , paressent des instants volés à la vie (...) Un livre étourdissant comme les grandes chaleurs qu'il raconte.
Sara
Zeitung vum Letzebuerger Vollek
"Grandes Chaleurs" réunit d'extraordinaires photographies de Marocains, de Marocaines, d'un pays chaud, brûlant, vibrant.
Michel Schroeder
C'est peut-être dans la photographie que Banier, aussi peintre, dramaturge et écrivain, révèle le mieux son extrême sensibilité et sa générosité dans son désir de dévoiler l'oeuvre d'art en chacun. Le véritable artiste crée à partir des autres mais son oeuvre parle surtout de lui, à travers les regards, les gestes, les attitudes de ces hommes, de ces femmes, on ressent la tendresse et l'amour du photographe pour le Maroc et ses habitants.
Enora
Un très beau moment suspendu, en noir et blanc, loin du Maroc branchouille qui envahit les nouveaux clichés du pays: un vrai voyage. Grand livre, grand format et grand photographe pour de "grandes chaleurs" pénétrantes.
Axelle Emden
La météo nous incite et nous invite à parcourir avec ravissement "Les Grandes Chaleurs" de François-Marie Banier.
David Genzel
Le Vif / L'Express (Belgique)
"Grandes Chaleurs" nous plonge dans la Maroc authentique, loin des clubs de vacances à trident, des couleurs chaudes de l'Orient fantasmé, de l'idée "simpliste, fantasmatique, néocolonialiste (...) du Maroc éternel" comme l'écrit l'écrivain marocain Abdellah Taïa en préface de l'ouvrage.
Baudouin Galler
Le Figaro Madame
C'est le poète qui livre ses impression du Maroc, sans l'exotisme, mais au niveau des êtres humains qu'il rencontre. Pourquoi on l'aime: parce que ces images pleine page ont une force particulière qui nous relie à l'humanité dans sa plus grande simplicité.
Jean-Sébastien Stheli
Un livre de belles photographies...presque vivantes.
Philippe Briand
La Dépêche du Midi Dimanche
Avec autant de curiosité et d'intimité que lorsqu'il photographie les célébrités, Françcois-Marie Banier mitraille au Leica et en noir et blanc les Marocains saisis dans leur quotidien, dans la rue, les échoppes ou sur leur devant de porte de porte. Sans texte, ces images nous disent: "Entrez donc!"
Pierre Mathieu
La Marseillaise
Un ouvrage somptueux.
Sébastien Faramans
Guy Duplat
(...) imprimé sur du beau papier , proche du papier journal, avec leur odeur. Dans "Grandes Chaleurs", les photos sont toutes de Marrackech. Mais il montre un autre Maroc. "Ce sont de seigneurs là-bas. Il n'y a pas une once de vulgarité chez les Arabes et les Maghrébins. Je les trouve mystérieux. Je ne montre pas ce que es gens voient d'habitude. J'aime les gens.
La Libre Belgique
médias
RCF Méditerranée (TOULON)
vendredi 19 février 2010
Mario Nahmias
Diffusions à 11h15 et 20h15
France 5
dimanche 14 février 2010
La traversée du miroir
PPDA
Diffusion à 19h00
RCF Le Puy en Velay (Ardèche, Cantal, Loire, Haute Loire)
mardi 2 février 2010
L'invité de la rédaction locale
Stéphane Longin
Rediffusions à 8h02 et 18h15
France Info
mardi 26 janvier 2010
Culture Médias
Philippe Vallet et Raphaëlle Duchemin
Direct de 9h45 à 10h00
Radio Classique
lundi 18 janvier 2010
Passions Classique
Olivier Bellamy
Direct de 18h00 à 19h30
RCF Châlons en Champagne
vendredi 15 janvier 2010
Des livres et vous
Claudine Bugat
Diffusion à 10h30
RCF Châlons en Champagne
lundi 11 janvier 2010
Des livres et vous
Claudine Bugat
Diffusion à 18h30
France Bleu Berry
lundi 4 janvier 2010
Espace livres
Thierry Chareyre
Interview et livre offert Diffusion entre 16h00 et 16h30
France Bleu Cotentin
vendredi 1 janvier 2010
Le livre du jour
Sylvie Resmond
Diffusion à 11h45
France Bleu Besançon
jeudi 31 décembre 2009
Le livre du jour
Marie-Ange Pinelli
Diffusions à 9h50 et 17h40
France Bleu Cotentin
jeudi 31 décembre 2009
Le livre du jour
Sylvie Resmond
Chronique du livre. Diffusion à 16h48.
France Bleu Creuse
jeudi 31 décembre 2009
Le livre du jour
Martial Portail
Chronique du livre Diffusion à 17h10
France Bleu Mayenne
mercredi 23 décembre 2009
La Mayenne dans tous les sens
Eric Vallé
Deux exemplaires du livre offert à l'antenne. Diffusion à 06h25
rcf le puy en valay(ardéche, cantal, loire, haute loire)
mardi 15 décembre 2009
L'invité de la rédaction locale
Stéphane Bossler
Diffusions à 08h02 et 18h15
France Bleu Mayenne
jeudi 10 décembre 2009
La Mayenne dans tous les sens
Eric Vallé
Deux exemplaires du livre offert à l'antenne. Diffusion à 06h25
RTBF La Première (BELGIQUE)
mardi 24 novembre 2009
Culture Club
Laurent Dehossay
Direct de 12h00 à 12h30
Public Sénat
mardi 24 novembre 2009
La bibliothèque Médicis
Jean-Pierre Elkabbach
Diffusion à 14h00
RTBF La Première (BELGIQUE)
mardi 24 novembre 2009
Culture Club
Corinne Boulangier et Laurent Dehossay
Direct de 12h00 à 12h30
LCI
lundi 23 novembre 2009
LCI Matin
Jean-François Rabilloud
Direct de 8h45 à 9h00
Public Sénat
lundi 23 novembre 2009
La bibliothèque Médicis
Jean-Pierre Elkabbach
Diffusion à 14h00
Public Sénat
samedi 21 novembre 2009
La bibliothèque Médicis
Jean-Pierre Elkabbach
Diffusions à 4h30 et 21h00
TV Clermont Première (Clermont Ferrand)
vendredi 20 novembre 2009
C un livre
Jean-Marc Millanvoye
Chronique du livre Diffusion à 0h45, 2h15, 3h45, 5h15, 6h45, 8h15, 9h45, 11h15, 12h45, 14h15
TV Clermont Première (Clermont Ferand)
jeudi 19 novembre 2009
C un livre
Jean-Marc Millanvoye
Chronique du livre Diffusion à 18h45, 20h15, 21h45, 23h15
France Bleu Sud Lorraine
du 9 au 14 novembre 2009
Cette année là
Nathalie Milion
Chronique du livre chaque jour, offert à l'antenne offert à l'antenne Diffusion entre 14h00 et 16h00
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