Gilles Paris
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parution le samedi 7 octobre 2006

Sophie Audouin-Mamikonian

Tara Duncan : Le Dragon Renégat
Roman Jeunesse

Editions Flammarion


Le livre

Déterminée à réincarner son fantôme de père, Tara est repartie secrètement sur Terre afin d'y trouver un précieux parchemin. A peine réussit elle à le voler que ses amis, Cal, le Voleur Patenté, Moineau, la Bête du Lancovit, Robin le demi-elfe, Fabrice le Terrien et Manitou son arrière grand père transformé en Labrador, la retrouvent.
Mais les Harpies, commanditées par un mystérieux ennemi tentent de tuer Robin et le blessent grièvement.
Ils doivent partir pour Stonehenge où un étrange sortcelier non-déclaré, aussi puissant que Tara, est en danger.
A cet endroit mythique, le Dragon Renégat a placé son piège. Depuis cinq mille ans il manipule les gènes des sortceliers de la famille de Tara afin de les rendre plus puissants. Enfin il touche au but. Le cercle des mégalithes est prêt.
En Angleterre, Tara découvrira la trahison de ceux qu'elle croyait ses alliés et paiera un prix terrible pour préserver sa planète d'adoption.
Des Sortceliers, le premier tome de la décalogie Tara Duncan, à ce nouvel opus, le Dragon Renégat, en quatre livres, Sophie Audouin-Mamikonian a tracé le parcours initiatique d'une héroïne chaleureuse et atypique. En cherchant à maîtriser ses trop puissants pouvoirs magiques, Tara acquiert petit à petit le sens des responsabilités, aidée par ses amis, humains et inhumains, sous la férule des dragons, machiavéliques et dominateurs.

L'auteur

La princesse Sophie Audouin-Mamikonian a publié trois livres :
Tara Duncan : les sortceliers
Tara Duncan : le livre interdit
Tara Duncan : Le sceptre maudit
Sophie Audouin-Mamikonian est née le 24 Août 1961 à Saint Jean de Luz.
Après la séparation de ses parents, elle est essentiellement élevée par sa grand-mère Catherine, tandis que son grand-père, Pierre Veber, ex-directeur du Matin de Paris et grand littéraire, lui lisait, dès ses six mois, Dumas et Hugo, Corneille et Molière en la gavant de sucreries. Lors des dîners, où elle n'avait pas le droit de parler, seulement celui d'écouter, son grand-père puisait dans sa prodigieuse mémoire pour déclamer alexandrins et quatrains sans jamais se tromper. Elle en a gardé une soif absolue de lecture et des pièces en vers (raison cachée pour laquelle ses incantations riment) et un sérieux faible pour tout ce qui est sucré.
Sa grand-mère écrivait en douce, sous le pseudo de Georgette Paul, car à l'époque, il n'était pas si bien vu dans sa famille que ce soit une femme écrivain. Editée chez Flammarion (Neige, Mademoiselle Fanny), ses ?uvres étaient de palpitantes et tumultueuses histoires d'amour qui ont quelque peu gâché les efforts de son grand-père à ouvrir Sophie aux Belles Lettres. Mais le pervertissement le plus absolu vient de son beau-père. Il lui fait découvrir la Science Fiction... Très vite, Robots et X-mens prennent la place des mousquetaires et le Cid et sa Chimène sont relégués aux oubliettes.
A douze ans, clouée par une crise d'appendicite, Sophie commence à écrire de premières et fiévreuses ébauches de Fantasy. Depuis, le stylo n'a plus quitté ses doigts, très vite remplacé par un apple, puis par un pc. Elle écrit Tara Duncan juste après la naissance de sa première fille Diane en 1987, après avoir redécouvert Shakespeare. Elle s'en inspire, ainsi qu'Homère, pour faire surgir AutreMonde des limbes de son imagination. Elle termine ce gros livre de 1000 pages, juste après la naissance de sa seconde fille, Marine, en 1990. Il ne fut édité qu'en 2003, au moment où, enfin, la magie devint à la mode grâce à celui-qui-a-une-cicatrice-sur-le-front.
Sophie Audouin-Mamikonian, d'origine russo-arménienne par sa mère et sa grand-mère, d'où ce titre de Princesse Mamikonian, a aussi passé un DESS de diplomatie et Stratégie. Ceci après avoir baguenaudé pendant dix ans entre agences de Pub (Séguela) et autres travaux d'écriture, encourageant son brillant mari -(ils sont mariés depuis vingt ans)- à devenir milliardaire afin de lui permettre d'écrire (et rire)
Car le maître mot de sa famille est bien celui-là. De Tristan Bernard, son arrière grand oncle, à Francis Veber, le frère de sa mère, en passant par son arrière grand père Pierre-Gilles Veber (Fanfan la tulipe, Macao, l'enfer du Jeu), ils ont tous dans le sang le goût du rire et de l'écriture.
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