Gilles Paris
accueil agenda archives présentation contact

parution le mardi 2 avril 2013

VADEL

VADEL
CD

Play On


D'origine anglo-persane, Adam Vadel voit le jour en août 93. Sa mère, comédienne, l'inscrit au conservatoire à l'âge de six ans où il apprend le solfège, la trompette et les percussions. Il découvre le funk : Michael Jackson, James Brown, Prince, Sly and the Family Stone, mais également David Bowie et Santana. Puis à neuf ans il commence le piano avec Aldo (du groupe Sergent Garcia) qui lui fait faire sa première scène dans un club latino avec Tyrone Downie (le pianiste des Wailers). A dix ans la batterie deviendra son premier instrument, sous l'influence des icônes John Bonham et Keith Moon.
Au collège, Vadel découvre les Stones, Aerosmith, Guns N' Roses, AC/DC. Il commence alors la guitare qui deviendra très vite son instrument de prédilection. D'instinct, il reproduit les riffs de Jimmy Page, Joe Perry, Slash et Nile Rodgers ainsi que le groove des Red Hot et de Rage Against The Machine. Dans la foulée, Vadel fonde son premier groupe et s'empare du chant (en anglais à cette époque). C'est lors d'une répétition dans un studio que ce jeune groupe est repéré par Yarol Poupaud, un proche de Philippe Manoeuvre, arrangeur et guitariste de Johnny Hallyday et FFF. Yarol puis Philippe Manoeuvre sont convaincus : ils programment Adam Vadel et son groupe pour les soirées « Rock'n'Roll Fridays » du Gibus. Vadel sera le plus jeune artiste à participer à ces illustres rendez-vous. C'est à ce moment-là qu'il est approché par les Majors. Il rencontre Jean-Claude Ghrenassia (EMI) et Marc Lumbroso (Warner) qui s'intéressent à ce jeune talent de douze ans.
Il enregistre ensuite et autoproduit son premier album à 13 ans, Adam Vadel. L'album contient une reprise de « I was made for loving you » de Kiss. Il est distribué au format numérique et donne à Vadel l'occasion de passer dans le "Grand Journal" de Michel Denisot.
Durant cette période très riche, Vadel fréquente les jam sessions de la capitale, et développe aux côtés de Mark Maggiori (grand réalisateur de clips, chanteur et parolier) la réalisation, l'écriture, et à force de travail, manie aussi bien les claviers, la basse, la batterie, l'harmonica que la guitare.
Au Gibus, repéré par Pascal Nègre, à quinze ans Vadel signe chez Polydor. Il effectue alors les premières parties d'artistes comme Iggy Pop, Joe Cocker, Pink ou INXS. Vadel est sélectionné pour représenter la France au Festival des Nuits blanches de Saint Petersbourg et remportera parmi quinze pays présents, le premier prix du public. Cela lui permettra de partager la scène avec les Doors / Ian Astbury, Woody Allen et Thin Lizzy.
Des changements à la direction de Polydor obligent Vadel à changer de maison de disques. Il choisit le label indépendant Play-On qui sort aussitôt son premier single « Drama Queen ». Ce qui ne l'empêche pas d'obtenir entre temps son Bac S avec mention. En quelques mois Drama Queen se place en tête de l'Airplay français. Ce qui lui permettra de sortir son premier opus éponyme.
Aujourd'hui, Vadel a 19 ans. Il se consacre entièrement à la musique et partage son temps entre le studio et la scène. Il se rend régulièrement en Californie et à New-York où il travaille avec Nick Sansano (producteur des albums Daydream Nation, et Goo de Sonic Youth, ainsi que Des visages des figures de Noir Désir). C'est aussi un pays où Vadel retrouve une partie de sa famille.
On retrouve dans la musique de Vadel les sons qui ont forgé ses goûts musicaux : cocottes funk et riffs de plomb qui rappellent tantôt Nile Rodgers, tantôt les Beatles et Led Zeppelin. En français et en anglais, les textes, rêveurs et mélancoliques, abordent la difficulté à communiquer, mais n'oublient jamais l'urgence de vivre.
Son deuxième single « Sex Dream » vient de sortir, une version plus funk-pop que celle de l'album. Le clip très graphique, noir et blanc rappelle « Tandem » de Mondino.
Courant 2014, Vadel va tenir le premier rôle d'un rock-opéra dont il est compositeur et coauteur avec Thierry Sforza et Bernard Schmitt (parolier et metteur en scène de Johnny Hallyday.
critiques
Vadel a bien assimilé ceux qu'il a pris pour maîtres ( Beatles, Led Zep) et il n'hésite pas à les mâtiner avec de vieux roublards (K. Richards, P. Townsend). (...) Un conseil : n'attendez pas que le troisième album de Vadel explose pour vous rendre compte que celui-là est intéressant!
Son parcours est d'une richesse incroyable (...) Dans cet album, Vadel signe la quasi-totalité des textes et des musiques, faisant preuve d'une grande maturité (...) Pour le jeune artiste, l'écriture est un exercice presque vital. (...) (Un) opus fichtrement efficace et rapidement addictif.
Olivier Martin
Les douze titres de l'album relèvent à la fois d'un vrai rock, d'une saoul planante, d'un folk qui renvoie au traditionnel, et d'une pop entrainante vers la bonne humeur (...) Chaque morceau brasse les genres avec autorité (...) l'ensemble sonne, résonne, étonne sans trébucher une seule fois : un réel plaisir, indéniable.
Jérôme Enez-Vriard
Ce qui frappe tout de suite l'oreille et marque durablement l'esprit - et cela dès la première chanson -, c'est la tonalité vocale à la fois délicate, douce, claire, détachée, sensuelle, voire juvénile du chanteur, Adam Vadel (...) Enthousiaste, frais, percutant et communicatif.
Christian Le Besnerais
rencontres
mardi 30 novembre 1999
FETES DE SAUVETERRE DE GUYENNE
mardi 30 novembre 1999
du 30 novembre au 2 décembre 1999
mardi 30 novembre 1999
médias
samedi 28 septembre 2013
IDF1
lundi 17 juin 2013
Le JJDA
Jacky Jakubowicz
Vadel interprétera un nouveau titre Direct de 18h10 à 18h25
IDF1
lundi 27 mai 2013
Le JJDA
Jacky Jakubowicz
Direct de 18h10 à 18h25 (Interview et deux titres en live acoustique)
RCJ
mardi 21 mai 2013
Les Matinales
William Zerbib
Direct de 11h30 à 11h45
LCI
lundi 13 mai 2013
Le 17/20
Michel Field
Direct de 19h30 à 19h55