LE LIVRE:

« Le Sahara ne s'habite pas, il se vit. Chaque jour, tout est remis en cause. Les peintres l'ont bien compris, car ils n'arrivent jamais au bout de leur toile. Le vent chasse les nuages, pousse les dunes, change la couleur du temps. En parcourant cet ouvrage, laissez-vous emporter par les paysages surprenants du Hoggar en Algérie ou les cathédrales de sable du Sud libyen où tous les mystères du monde semblent se concentrer.

Ecoutez le chant des vents dans le désert du Ténéré qui vous emmène dans un espace hors du commun où l'éternité s'écoule grain par grain dans le sablier du temps. Allez plus loin que vos rêves et laissez-vous troubler par ces images inédites et irréelles du désert blanc en Egypte, l'un des plus fascinants du Sahara, qui offre, au regard ébahi, des formes et des couleurs d'une variété infinie. Le sable est si fin qu'il ressemble à du talc. Marcher dans cette neige, vierge de toute empreinte, nous invite à un retour à l'essentiel. Celui de la simplicité. Et là, là seulement, isolés de tout, sans repères, vous serez seuls face aux silences de vos pas. Dans cette nudité, vous n'aurez rien à prouver, vous serez devenus votre propre référence. Tel un grain de sable enchaîné au fil de l'éternité, explorer les paysages les plus incroyables de notre planète. »


Un album magnifique qui invite le lecteur à plonger dans la magie des paysages sahariens.

LES AUTEURS:

Photographe reporter né en 1969, Régis Colombo est connu pour ses paysages aux lumières particulières, sa technique en constante évolution et ses montages artistiques ”Transparencies". Il est l'auteur de plusieurs ouvrages parus chez Favre, notamment :
• Vignobles suisses (2003)
• Zanzibar (2005)
• Portraits d'Asie (2006)
• 20 Years Photo (2014)

Son acolyte de voyage, Antoine Blanc, est journaliste et designer graphique pour l'un des principaux quotidiens suisse-romands (24heures). «Tantôt carnet de route, tantôt conte à dormir à la belle étoile, parfois précis d'histoire ou de géographie, son texte n'ennuie jamais. Invitation à prendre «des vacances de soi-même», son récit aux inflexions parfois mystiques recouvre d'un voile léger et poétique les plans larges du photographe.» (Nicolas Verdan, 24h)